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mercredi 13 mars 2013

Concours : gagnez votre BB Crème Naked d'Urban Decay ! [CLOS]




 

 
Je vous l'avais annoncé la semaine dernière, et le voici : le concours Beauty Balm (y'en a marre de dire BB Crème...) Naked Urban Decay ! Je vous propose en effet de remporter cette nouveauté de la marque, très réussie selon moi, mais pas pour moi (t'inquiète pas ma p'tite Erborian teinte asiatique personne ne t'arrive à la cheville pour masquer mes rougeurs et conserver mon teint très blanc )^^





Comme je n'aime pas l'idée de ne faire gagner qu'une seule personne, j'ai deux p'tits lots pour une deuxième et une troisième : une miniature du fond de teint Naked d'Urban teinte 4 (un beige type teinte 30 dans les autres marques^^) et, (oui je sais ça n'a rien à voir mais deux gagnantes c'est bizarre aussi, et puis j'en ai des bêtises de parfumerie dans mes tiroirs...) une miniature Flash de Jimmy Choo !






Enfin, comme le concours est 100% sponsorisé par bibi-a-la-chance-de-travailler-en-parfumerie, je n'ouvre le concours qu'à la France métropolitaine puisque tous les frais sont à ma charge, désolée ;)

Pour tenter votre chance :
1) Il faut "liker" ma fanpage facebook. Le concours sera clos lorsque la barre des 300 "j'aime" sera atteinte sur celle-ci.

2) Vous pouvez optimiser vos chances de victoire :
+ 1 chance* de gagner si vous partagez le concours sur FB
+ 1 chance* de gagner si vous partagez le concours sur Hellocoton
+ 1 chance* de gagner si vous partagez le concours sur votre blog
(* pour chaque partage sur un des réseaux mentionnés ci-dessus dont il faudra m'envoyer le lien, votre nom/pseudo apparaîtra une fois supplémentaire dans le saladier plein de petits papiers d'où piochera une main innocente le nom des gagnantes, le premier nom remporte le premier lot et ainsi de suite)

3) N'oubliez pas de me laisser un moyen de vous contacter ;)











A vous de jouer !



mercredi 12 décembre 2012

la vérité sur les échantillons



 
Aujourd'hui pas de sourire sur la tête de mon p'tit perso des billets d'humeur. Parce que malheureusement même dans le futile il y a des sujets sérieux. Ou qui le sont devenus alors qu'ils ne méritent pas tant d'importance, exactement comme ce dont je vais vous parler aujourd'hui : les échantillons. Comme vous le savez je travaille en parfumerie, et comme il ne s'agit pour moi que d'un travail temporaire même s'il s'est un peu trop installé à mon goût, je n'hésite pas à vous faire partager l'envers du décor comme j'ai déjà pu le faire avec l'ambiance premier jour des soldes juste ici...





 


 
Pourquoi les échantillons me direz-vous ? Eh bien parce que non seulement tous les jours je dois déjà subir des agressions en magasin à leur sujet, mais en plus je lis sur mon temps libre à la maison dans de plus en plus de blogs beauté des discours aussi effrayants et ridicules que ceux que j'entends la journée au travail...

Ce qui pose problème aujourd'hui, c'est la quantité de ces fameux échantillons. Nous avons de plus en plus de clients, de plus en plus de demande, mais de moins en moins de quantités. Il paraît que c'est la crise, et il paraît aussi que les marques ne veulent plus que leurs échantillons soient distribués à tout va. C'est compréhensible, c'est aussi un investissement de leur part. Parce que oui, ce sont bien les marques qui nous envoient leurs échantillons en magasin, et quand il n'y en n'a plus, ou qu'il n'y en n'a pas assez, c'est pourtant nous les conseillères de vente, hôtesses de caisse, responsables qui nous faisons insulter ou balancer des paniers à la figure. Oui, à ce point là. Cherchez l'erreur.

Pour remédier à cela, nous prenons des mesures. Là où visiblement il y a quelques années n'importe qui pouvait ressortir avec des échantillons de n'importe quelle parfumerie sans même y avoir acheté quoi que ce soit, nous décidons donc de privilégier nos clients et clientes qui achètent afin de pouvoir satisfaire un maximum d'entre eux puisque comme cela nous atteignons moins vite la pénurie au cours de la journée. Et nous renforçons cela par une règle "'un échantillon par tranche de tant d'achat", comme avec les cadeaux. Logique non ? Nous avons également des fioles vides que nous pouvons remplir de n'importe quelle fragrance selon les désirs des acheteurs car si déjà nous avons du mal à distribuer suffisamment d'échantillons en caisse, est-ce vraiment utile de préciser que sur les centaines et les centaines de produits que nous référençons, impossible de tout avoir en échantillon tout prêt... ?


Mais cela ne suffit visiblement pas :
 
- les visiteurs qui n'achètent pas nous crient dessus, disent que c'est inadmissible de leur faire payer quelque chose qui devrait être gratuit. Dialogue de sourd : l'échantillon est et restera gratuit dans la mesure où on ne vous le facture pas en plus de vos achats, par contre, il n'est distribué qu'aux personnes qui passent en caisse. Oui, nous sommes aussi un commerce les enfants !

- les clients qui achètent trouvent que nous en donnons trop peu, nous traitent de radins, disent qu'on les garde pour nous... Mais nous sommes obligés là encore de limiter la distribution si nous voulons que chaque client qui passe en caisse puisse avoir son petit présent, c'est juste du bon sens et de la justice finalement. LOL je dis justice mais... je rappelle quand même que les échantillons, même pour les clients qui achètent, sont un bonus, pas un dû ! Est-ce que vous repartez avec un bout de tissus offert pour l'achat d'une robe chez H&M, une chouquette gratuite pour l'achat de deux baguettes chez votre boulanger ? Non. Pourquoi la parfumerie serait-elle une exception ??!
Quant au fait que soit disant les échantillons, on les garderait pour nous... eh bien détrompez-vous. Lorsque nous faisons nos achats salariés, nous sommes encore plus limités que vous : quelle que soit la somme dépensée c'est max deux échantillons là où le client en obtient entre gros guillemets à la mesure de son achat. Il en est de même pour les miniatures, trousses et autres "gros" cadeaux qui non seulement son rares eux aussi mais qui aujourd'hui sont aussi destinés à être distribués pour un achat spécifique dans une marque spécifique, si on les donne sans réfléchir, que dire à la personne qui vient faire son achat exprès pour obtenir son cadeau lorsqu'il n'y en n'a plus ?... Mais quand même, petite astuce pour la catégorie concernée qui ne me lit sûrement déjà plus tellement les premières lignes du texte l'ont déjà offusquée : si vous voulez vraiment quelque chose, demandez le gentiment, calmement, poliment, il y a plus de risques pour que ça marche ainsi. On a toujours plus envie de "gâter" (avec les moyens du bord) quelqu'un qui ne réclame pas comme un môme capricieux à choisir. C'est humain. Quand on peut les donner nos échantillons, on le fait.

- un client sur deux refuse l'échantillon "fait main" qu'on lui propose lorsque le parfum qu'il ou elle souhaite tester n'existe pas en petit vapo tout prêt, quitte à reposer son panier plein de produits pour aller acheter ailleurs ou à partir d'une manière théâtrale en jurant de ne plus jamais revenir.
Sans parler de ceux et celles qui sortent de caisse et viennent demander "plein d'échantillons" en magasin car il n'y a plus rien dans les tiroirs et lorsque qu'on leur demande ce qu'ils veulent nous répondent "ben je sais pas ce que vous avez" et qu'on leur dit qu'on peut leur remplir des fioles vides avec ce qu'ils veulent parce qu'il n'y a rien de tout prêt partent finalement en lâchant un "c'est bon j'en veux pas" très énervé. Ceux qui viennent pour gratter, comme on les appelle... Mais bon c'est partout pareil maintenant, ou du moins ça le sera tôt ou tard. Autant se raisonner et prendre de nouvelles et saines habitudes pour l'avenir.


Bref, là où la parfumerie voulait faire plaisir à ses clients... elle s'est tirée une balle dans le pied en créant une habitude, un besoin, qu'elle n'est plus en mesure de pouvoir satisfaire comme autrefois, dans un autre contexte économique. Ce coup de gueule explicatif me tenait vraiment à cœur car ces situations conflictuelles là on les vit tous les jours en magasin, alors qu'elles n'ont absolument pas lieu d'être ! Je suis fatiguée de me faire insulter et agresser pour "un pauvre échantillon de m*rde" qu'on me réclame dix fois par jour sur un ton bien au delà du désagréable en l'appelant justement ainsi "pauvre échantillon de m*rde"... "Mais pourquoi vous voulez pas me le donner c'est juste un échantillon de m*rde !" mais si c'est ça justement, pourquoi en faire un si grand scandale ? Pourquoi en faire une nécessité vitale et absolue quitte à en perdre tout sens commun, toute notion de politesse et de civisme ?


J'espère que ce billet vous aura permis de mieux comprendre certains "comportements" en magasin de la part de vos conseillers, hôtes de caisse, responsables. Et surtout qu'il aura fait réfléchir une partie des gens qui se montent la rate au court bouillon pour si peu sur leur attitude. Même si ce ne sont sûrement pas ceux-là qui commenteront ;)


Bonne soirée les copines et à demain pour un retour à la futilité, la vraie !




jeudi 28 juin 2012

les soldes, de l'autre côté du rideau de fer...

Personnellement, je n'ai jamais pris d'assaut les magasins le premier jour des soldes de ma vie. Même ayant repéré un truc, j'ai toujours attendu deux ou trois jours avant de me lancer. Sans vraiment savoir finalement pourquoi exactement je le faisais, ne connaissant pas le potentiel hystérique de la foule prête à faire chauffer la carte bleue... Mais j'en ai pris conscience trèèèèès rapidement ayant commencé à travailler dans le commerce (parfumerie) !

L'été dernier, j'ai fait l'ouverture des soldes. Et le lever de rideau a été é-di-fiant ! Elles n'attendent même pas qu'il soit levé pour se jeter dessous, prêtes à se piétiner les unes les autres s'il le faut, et envahissent le magasin comme s'il s'agissait de voler des produits de première nécessité en temps de guerre et de famine. Terrifiant.

J'avais une vidéo sous la main de mon magasin mais tous comptes faits je ne la posterai pas ici, préférant finalement un peu d'anonymat. Il y a des choses que je vais écrire, qui ne vont pas plaire...
Cette année, j'étais de fermeture. Et ce n'était pas spécialement plus rassurant quant à la nature humaine... on peut reprocher beaucoup de choses aux hommes et à leurs dérives belliqueuses, mais "nous les femmes", on peut quand même être d'ignobles harpies.






11h30 : Je suis arrivée en avance, et déjà dans le métro j'ai commencé à avoir peur, voyant la foule qui descendait à l'arrêt du centre commercial. J'ai mis trois fois plus de temps à atteindre mon magasin. En le traversant pour aller dans les arrières j'ai entraperçu quelques uns de mes collègues en nage, les yeux sortant des orbites au milieu de la foule qui grouillait et s'agitait devant les bacs de petits prix. Mes camarades d'ouverture en pause déjeuner sont affalés sur la table, presque livides. Ça ne présage rien de bon^^


12h00 : Briefing. On rit jaune. On sait qu'on va souffrir aujourd'hui. On se lance des regards complices, on souffle un grand coup, et on passe la porte.

12h15 : Je constate que déjà, depuis huit heures ce matin, le travail de longue haleine de scotchage, de tri, d'étiquetage, d'organisation, de rangement de plusieurs semaines de mes collègues chargés de la préparation des soldes a été sacrément malmené. Packagings déchirés et vides de partout, produits de vente ouverts et utilisés en pagaille, paniers pleins abandonnés anarchiquement dans les rayons.


13h00 : Entre les clientes qui ouvrent tous les produits vente scotchés dont pourtant il y a un testeur qu'une autre a manifestement remis en vrac ailleurs, les remises en rayon des produits laissés en caisse car encore trop cher, celles qui réclament d'être remboursées d'un euro car ont pris un produit déplacé dans un autre bac avec un autre prix estimant avoir été trompées et les deux ou trois autres qui me courent après pour un loooong conseil car impossible de choisir la couleur d'un gloss de toutes façons plus ou moins transparent alors que je suis totalement débordée... j'ai déjà la tête qui tourne. Welcome to les soldes en parfumerie ;)


14h00 : Je suis en caisse pour aider. Je sue à grosses goutes (très glamour) car la clim sature avec tout ce monde, la musique pourtant à son volume habituel me crève les tympans, et cette queue qui ne semble jamais finir... Je suis obligée de me confondre en excuses pour oser être en rupture d'échantillons malgré un "mot officiel" du magasin sur chaque caisse et de ne pas pouvoir offrir une miniature pour 4,50 euros d'achat. (Si les marques ne nous envoient pas suffisamment pour parer à notre grand flux, en quoi est-ce de notre faute ? Je vais pas vous le "pondre", pour être polie, si je n'en n'ai pas ! Quand est-ce que ces petits cadeaux ont cessé d'être un agréable bonus pour devenir un du ? Depuis quand on a un bout de tissus quand on achète chez H&M ou une chouquette offerte quand on prend une baguette et un pain de campagne chez son boulanger ???! Hein ??!)


15h10 : Je pars en retard pour ma pause déjeuner. Je suis si effarée et déshydratée que je mets le tupperware contenant ma salade à chauffer dans le micro-ondes. Vous avez dit zombie ?^^


16h10 : C'est reparti... Ouh pinaise il y a toujours autant de monde !

17h00 : Ça y est, je suis vraiment énervée. Le magasin ressemble à Tchernobyl. Bacs complètement mélangés, produits défoncés, touches à sentir et cotons usagés partout sur les meubles et le sol (il y a pourtant des poubelles prévues à cet effet partout, étrange). Rouges à lèvres, fards, vernis : foutus par dizaines. J'ai même retrouvé un crayon mâchonné comme un stylo... Mais on peut aussi retracer les habitudes alimentaires de notre clientèle du jour : boissons vides et emballages papiers de casse-croûtes divers sont semées de l'entrée jusqu'aux caisses.


18h00 : Une des clientes a qui j'ai gentiment dit (pour au moins la cent cinquantième fois de la journée en tout) qu'il ne fallait pas ouvrir les produits vente m'ignore et continue tranquillement à déchirer les packagings pour tâter la marchandise. Je réitère ma demande. Elle se met à hurler que nous sommes tous des incompétents, qu'elle a le droit de voir les produits qu'elle achète et de les tester... Même si cela implique en plus de retirer le plastique autour de l'un de nos pinceaux à la vente pour le faire. Dans le principe, mmmoui, certes (sauf pour l'incompétence hein là suis pas d'accord^^).

Mais ce qu'on ne sait pas, ou ce qu'on refuse de deviner, c'est que :

1) Lors de la préparation des soldes, nous avons démarqué un testeur par produit pour que les clientes puissent tester. A l'heure qu'il est, ils sont tous mélangés, mais nous sommes à côté pour aider à les retrouver par exemple. Au lieu de ça nous jouons les calculatrices humaines pour d'autres shoppeuses et le massacre continue.

2) Qui achèterait sans arrières pensées un produit déjà ouvert et testé ? On est d'accord. Eh bien tous ces produits invendables qui nous restent sur les bras, ils ne sont pas facturés à la marque en question. Non, ils sont déduits de la marge de notre magasin, et de notre prime annuelle. En 2011, sans le vol et ce type de comportement irrespectueux, nous aurions toutes gagné 800 euros de plus sur notre paie. Oui, rien que ça.

Bref, notre travail, nos efforts : on s'en fout. Pourquoi le respecter quand on peut allégrement le piétiner ? Oui, nous sommes dans le commerce. Oui, notre métier est le service. Mais nous ne sommes pas à disposition comme des larbins dont le labeur de mériterait aucune reconnaissance. Je suis fatiguée de toutes ces remontrances injustifiées, des "Eh venez là", des "On peut être conseillée ici ?" ou encore des claquements de doigts pour être appelée.

Mais tout ça, on doit le garder pour soi. Et on le fait.




18h15 : Des larmes de rage perlent dans mes yeux. Mais toujours pas le temps. On verra plus tard.


18h30 : Pause de cinq minute. J'ingurgite un bon litre d'eau glacée pendant que mes pieds meurtris semblent résonner de douleur, maintenant qu'assise, je les écoute.


18h40 : A nouveau en caisse. Sourire et dynamisme obligatoires malgré toutes ces pensées dans ma tête. Après tout je ne suis peut-être pas si mauvaise comédienne que ça ? Heureusement qu'il y a quand même quelques clients qui rendent ce sourire de façade réel pour quelques minutes, en me le rendant. En me disant merci et bon courage, que mon paquet cadeau est très joli ou que je suis gentille de remplir leur carte de fidélité à leur place. Qui engagent la conversation ou plaisantent avec moi. Oui, c'est mon travail, mais je ne suis pas un robot. Et dieu merci une partie des clients semble en être encore consciente :)


19h30 : On est sensés fermer dans une demi-heure, et il y a encore une grosse cinquantaine de clients dans les rayons et en caisse. On ne va jamais réussir à finir en temps et en heure. Il y en a qui vont louper leur train ce soir...


19h55 : Je confirme. On peine énormément malgré les grilles à moitié fermées à empêcher les derniers badauds d'entrer, et d'inciter nos clientes fouillant vigoureusement les bacs de soldes à rejoindre les caisses où une grande queue a déjà du mal à avancer. Je rêve d'un mégaphone à cet instant précis.


20h05 : Je quitte enfin la surface de vente. Épuisée. Mais pas autant que mes collègues qui ont encore beaucoup de travail en caisse.


20h15 : Je sors du magasin. Une dame m'interpelle. "Vous fermez déjà ? Pffff c'est dommage..." Je souris poliment en haussant les épaule, et m'éloigne vite avant que je ne lui explique un peu moins gentiment que nous avons tous une vie en dehors de la boutique et qu'elle ne prenne pour toutes les gr*gnasses affrontées durant la journée.



Et dire que ça recommence demain...




J'espère n'avoir froissé personne avec ce récit très (trop ?) réaliste, écrit à chaud. Je voulais simplement montrer un peu l'envers du décor de ces fabuleuses soldes, et du commerce en général puisque l'on va par là, du point de vue des "techniciens", des "artistes". Ce ne sont que des exemples, tant les négatifs que les positifs. Mais nous qui vivons ça au quotidien, on en a des centaines comme ceux-ci en mémoire, et malheureusement il est difficile de ne pas en tirer comme conclusion des généralités assez déprimantes, et peu flatteuses.

Mais quand j'y repense, même si mes petits boulots dans le commerce ont commencé assez rapidement dans mon adolescence, je n'ai pas souvenir de m'être un jour conduite de cette façon dans un magasin. Est-ce que les mœurs ont évolué en cours de route ? L'éducation a-t-elle changé ? La nuance entre "disponible" et "à disposition" aurait-elle disparu quelque part ? A-t-on définitivement pris "le client est roi" comme acquis, ferme, définitif et sans limites ?



Ou bien c'est moi qui suis complètement à côté de la plaque ?







PS : je précise quand même au cas où, que la faute d'orthographe dans mon p'tit dessin est volontaire et humoristique ;)