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jeudi 20 novembre 2014

Elle a coupé sa #frange toute seuuuuule ♫


La frange et moi, c'est une longue histoire d'amour/désamour. Les allers-retours ont été nombreux depuis mon adolescence. Quand je l'ai je la maudis autant que je l'adore, quand je ne l'ai pas, elle me manque autant que je la déteste *soupir*

La dernière fois que je m'en suis débarrassée en passant de cheveux longs à frange à coupe pixie, c'était le 6 août 2013. Oui, c'est précis (je suis allée vérifier la date sur le selfie-salon de coiffure de ce jour là, pour faire un petit calcul...).

L'idée d'y retourner a commencé à me trotter dans la tête à la fin de l'été (j'ai beaucoup hésité à cause de mon côté du crâne rasé, j'avais peur que ça ne passe pas, du coup), j'ai craqué il y a trois jours : j'aurai tenu 468 jours.

Un an, trois mois et onze jours.

Mais cette fois-ci, le pétage de plombs a été encore plus loin que d'habitude. J'ai juste regardé un tuto (<- regardez-le si ça vous tente, je n'aurai pas la patience d'expliquer comme il faut :p), et je me suis lancée quelques heures plus tard.


Résultat : ce n'est pas parfait, mais je suis contente de l'avoir fait moi-même et je vais ajuster les irrégularités au fil des jours, jusqu'à mon prochain passage en salon... L'asymétrie due à mon side cut n'est pas choquante contrairement à ce que je craignais. Bref, une petite réussite. Le DIY capillaire m'effraie de moins en moins, c'est mon côté punkette il faut croire :)

Qu'en pensez-vous ?


Frange-ment vôtre,


Olga


PS : Il est "trop #swag" mon pyjama hein ? C'est du Tex, de chez Carrouf'. Pas peur de le dire :p

PPS : Je réalise que je ne vous ai pas parlé de beauté depuis un sacré bail... ça doit être la faute de mon boulot, vu que j'écris quotidiennement à ce sujet^^ C'est dommage, j'ai plein de choses à vous raconter... vais essayer de me rattraper :p

mardi 18 novembre 2014

La Minute Féministe #4 : j'ai testé le cours d' "auto-défense féminine" !




"Si vous avez aimé, dites le sur Facebook. Si vous n'avez pas aimé, ne dites rien hahaha", plaisantait l'instructeur avant-hier après le cours. Et pour un propos nuancé, il y a une petite place quelque part ? ;)

Au fil de discussions avec des collègues, on en est venues à parler de cours d'auto-défense. Motivées, on se dit qu'on va s'y mettre, et on choisit une date sur le calendrier d'une association qui a pignon sur rue en la matière depuis 2011 : Ladies System Defense (ou "LSD", je ne sais pas si c'est de l'humour assumé ou une coïncidence...). À quelques jours du dimanche choisi, le programme a changé, j'y vais avec une amie féministe car mes collègues ont changé de plans entre temps.

Je pars avec un à priori, j'avoue...

Mon amie me prévient : elle a déjà fait un stage avec eux mais elle n'est pas à 100% convaincue, et des connaissances que nous avons en commun, non plus. Niveau "self défense" pur et dur, rien à redire. Mais dans le discours... quelques maladresses qui font grincer des dents. Cela ne m'a pas refroidie, j'aime bien me faire mon idée par moi même, lorsque je le peux.

À 14h, notre cours de 3 heures démarre donc, une fois que toutes les participantes ont réglé leur 30 euros (pour celles qui ont réservé, sinon, c'est 35e). Oui "participantes", c'est réservé aux femmes uniquement. C'est le concept même (ce pourquoi je ne critique pas ce point là, j'aurais pu aller ailleurs ayant connaissance de cette non mixité, cf mes bons/mauvais points plus bas) et j'avoue qu'il est assez plaisant de voir un groupe aussi divers réuni dans ce petit dojo... De la vingtaine à la cinquantaine, tous physiques, toutes origines confondues, nous sommes toutes réunies par un même ras-le-bol, une même volonté. (et au bout d'une demi heure, toutes dans le même état : en sueur^^)

Les quatre instructeurs (trois hommes, une femme, as usual) se présentent puis on commence par des échauffements ("Il est important de se garder en bonne condition physique", "le jour où l'on subira une agression, notre cœur va battre fort", donc on se met en condition, logique). On marche dans le dojo "comme on marcherait dans la rue", en gardant un œil sur l'un des instructeurs : on travaille sur notre vigilance. Au signal "un", c'est 5 pompes, à "deux", c'est 5 flexions et à "trois", 5 abdos ("c'est votre spécialité ça !"). On intensifie en trottant sur les tapis... 

De l'importance du vocabulaire avant de passer à l'action, et premiers froncements de sourcils...

Pfiouuuu je suis déjà en nage et il est temps d'attaquer les choses sérieuses, on nous sort des sacs de frappe : on va travailler les "coups d'arrêt". Ici on ne parle pas de "coup de poing/coude/genou pied" etc... 

Donc un "coup de pied dans les couilles" est un "coup d'arrêt partie basse du tronc". Apparemment, c'est important d'utiliser un vocabulaire comme celui-ci dans le cadre d'un dépôt de plainte ("obligatoire", nous martèle-t-on à plusieurs reprises durant ces trois heures... un poil culpabilisant, ahem). Pour ne pas que l'agresseur se retourne contre nous, ce qui est possible. Oui, comme disait Audiard "les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît" ! Ces précautions sont donc importantes, je comprends.

On nous explique la posture de défense à adopter : en appui sur nos jambes, souples et fléchies, les mains (ouvertes, signe d'apaisement contrairement aux poings... position d'attaque, donc). Face à nos binomettes, on commence à donner des coups dans le sac qu'elles tiennent : d'abord une main, puis l'autre, et les deux. On doit taper "derrière" le sac ("l'important, ce n'est pas la force, mais l'intention", je valide !), y mettre de la volonté plus que de la patate.

On alterne régulièrement les rôles, on prend confiance. Avant chaque nouveau geste, nos instructeurs nous font une démo, que l'on reproduit. À présent, c'est coup de coude, ou plutôt coup d'arrêt avec le coude (efficace et... libérateur, pour ma part !). On nous invite à crier ("si vous n'arrivez pas à crier ici, dans un environnement sécurisé, le jour où il faudra le faire, rien ne sortira" et c'est vrai que c'est important, de donner l'alerte...). Ce n'est pas évident, beaucoup perdent leur sérieux (et à la fois... c'est bon de rire, nerveusement, ça muscle aussi les abdos !) mais les "recule", "dégage", "connard", "casse-toi" ou simplement "aaaaaaaaaah" fusent.

On nous propose d'essayer "Restez à distance". C'est long, mais ça nous permet de bosser la respiration durant l'effort, et de maintenir une distance verbale avec le vouvoiement. Ce n'est pas facile, mais ça marche, à force. On enchaîne avec les coups d'arrêt avec nos jambes : coups de pieds, et coups de genoux (le truc le plus libérateur au monde, ais-je ainsi découvert...). 


Maintenant que nous maîtrisons un peu mieux ces gestes (les instructeurs sont passés dans les rangs pour regarder ce que nous faisions afin de nous corriger à l'aide de conseils pratiques)... on simule des situations d'agression. Celles qui tiennent le sac de frappe se mettent debout d'un côté de la salle et les autre, attendent en face, assises. On doit alors marcher vers elles, et elles, se relever et se défendre.

On augmente la difficulté de la tâche, toujours en alternant les rôles pour chaque scénario, en faisant courir "l'agresseuse" puis en faisant s'allonger "l'agressée". Visiblement, on a développé quelques réflexes. Les coups d'arrêt viennent naturellement, on les enchaîne... punaise ce que ça fait du bien. Très clairement, on apprend en se dépensant et en se défoulant : le sac de frappe prend pour tous ceux à qui on n'a jamais osé répondre, tous ceux dont on a subi les mains aux culs sans oser plus que le regard noir !

Mises en situation

Je crie toute ma rage, je frappe tous mes agresseurs du passés. C'est trop bon.
Vraiment, c'est la partie du cours que je préfère ! Mais... on ne tient pas trois heures comme ça, c'est évident. On enchaîne donc avec des mises en situations, scénarisées.

Bénédicte, l'instructrice, fait la plupart des démos (elle envoie !), dans diverses situations, pour nous montrer quelques exemples de gestes pour se dégager et maîtriser notre agresseur si... on nous attrape par la main, la taille, les cheveux, si on essaie de nous étrangler contre un mur. Puis on pratique, un à un et toujours à tour de rôle avec nos partenaires, ces techniques.

Lors d'une de ses démos, notre instructrice enchaîne son agresseur jusqu'à la clé de bras, une fois qu'il est au sol... C'est bôôôô, et je ne peux m'empêcher de faire de lancer un slow clap. La salle suit, super moment^^ 



L'ambiance est bon enfant, on rigole bien. Les instructeurs précisent en riant que la seconde partie de cette démo était "pour rire", car ici, on nous apprend la légitime défense ("et non la vengeance", bien sûr), afin de rester dans le cadre de la loi : une fois que l'on a maîtrisé celui ou celle qui s'en prend à nous, on file. Le but est de se soustraire à l'agression, pas de s'acharner... même si franchement... ça peut être tentant.

Après ces exercices, d'autres suivent. C'est la "préparation mentale" (qui suit les préparations physique et technique). On éteint les lumières de la salle, l'éclairage est entre chien et loup, on se remet à marcher aléatoirement dans la salle. Nos quatre instructeurs du jour simulent alors diverses agressions verbales ou physiques : à nous de jouer. Sans sombrer du côté obscur non plus, ils nous demandent aussi l'heure, pour nous rappeler que la parano totale, c'est un piège à éviter.

Pour ma part je me fais bousculer plusieurs fois, mais j'arrive à éviter le "conflit". Il paraît que je sais bien désamorcer un possible accrochage par la parole... des années d'expérience^^ Mais lorsque ça en vient aux mains, je vois que j'ai effectivement développé quelques automatismes : je me dégage et, étrangement, c'est le coup d'arrêt partie basse made in mon genou droit qui revient. Si un jour je ne peux pas éviter une situation où je devrai en venir aux mains, j'espère que ça me reviendra aussi facilement ! En attendant... je vais sans doute continuer à "m'entraîner" régulièrement.

Les quinze dernières minutes du cours sont consacrées à des questions-réponses. On évoque notamment la possibilité/nécessité des témoins de réagir, on parle de la "dissolution de la responsabilité", qui me fait fort penser au Projet Crocodiles dont j'ai la BD dans le sac ce jour là (je vous en reparle très vite !). 

Globalement, je suis très satisfaite des trois heures que je viens de passer :)

Mon avis

(J'essaie de ne pas m'épancher plus que je ne l'ai fait ci-dessus, c'est pas gagné.. le style télégraphique ne me sied point.)

Les plus

- C'est un très bon cours pour survoler différentes techniques de self défense.
- C'est physique mais pas insurmontable pour une feignasse comme moi (ça fait deux jours, je suis encore courbatue malgré les litres de flotte que j'engloutis)
- C'est un défouloir absolument parfait, on ressort plus légère, dans tous les sens du terme...
- C'est convivial, on s'amuse franchement, par moments.
- C'est bien organisé, les équipements sont vraiment là et les intervenants sont de vrais pros dans le domaine de la self défense (certains sont gendarmes).

Les moins

- Le prix. J'avoue que pour de l'associatif je m'attendais à moins. Certes, si c'est juste une fois, 30 euros, ça va. Mais si on veut y aller toutes les deux semaines, à chaque stage, ça commence vite à piquer.
- Le discours un peu bancal, par moments*, sur la violence faite aux femmes.

(* je ne peux pas m'en empêcher :
- En guise d'intro, on nous a plus ou moins dit que bon, la société et les hommes sont comme ça donc c'est important qu'on sache se défendre car on ne changera pas ça... Certes ce n'est pas le rôle d'un cours de self défense de prêcher la parole égalitariste mais être fataliste à ce point et dans ce contexte, je trouve que perso, ce n'est pas terrible. Mais ce n'est que mon avis.
-Sur la brochure, d'un côté parler des "violences faites aux femmes", et de l'autre énumérer les conseils bateau style "ne pas marcher dans une ruelle sombre seule le soir"... on nous abreuve de ces conseils là depuis qu'on est petites, "nous les femmes", on le sait. Donc c'est un peu de notre faute finalement, s'il nous arrive un truc alors qu'on avait pas d'autre choix que de passer par la dite ruelle louche. Je caricature, mais je veux dire que c'est lourd de toujours revenir à l'idée de bricoler des solutions/gadgets pour éviter aux femmes de se faire harceler/agresser/violer plutôt que d'éduquer/sensibiliser les potentiels harceleurs/harceleurs/violeurs qui sont les seuls responsables de ces violences. Ça part d'un bon sentiment, un poil paternaliste certes mais quand même, mais en entretenant ainsi sans en avoir l'air le mythe de "l'homme prédateur" (#notallmen oui on sait, next) on ne fait que mettre un pansement sur une plaie qui nécessiterait de solides points de suture.
- Dire "on DOIT aller porter plainte" ou "c'est OBLIGATOIRE" de porter plainte... perso, ça me gêne. Oui, c'est vrai que c'est mieux dans l'absolu, mais c'est amené de manière culpabilisante pour la potentielle victime.
----> D'autres petites phrases du genre m'ont fait tiquer, c'est une liste non exhaustive car j'ai la fâcheuse tendance à me concentrer sur le positif, et il y en avait beaucoup à côté de ces points négatifs. Des connaissances ont fait d'autres cours et ont relevé d'autres choses qui les ont énervées mais je n'en parlerai pas ici car je ne relate que ma propre expérience du bout de mon clavier, c'est plus juste.)

Ce que j'en retiens

Bisounourse d'un jour, bisounourse toujours : je vois toujours le verre à moitié plein. Je suis persuadée que ces quelques couacs qui ont eu le don de me faire grincer des dents étaient vraiment des maladresses et j'espère que les instructeurs, s'ils me lisent, ne prennent pas mal mes critiques. J'ai bien conscience de l'investissement que peut-être une asso et je suis reconnaissante de leur engagement, qui contribue grandement aux "plus" de ma petite liste ci-dessus :) 

Néanmoins, je suis tout aussi persuadée que tout cela est perfectible, dans toute la connotation positive que ce terme est sensée avoir. À mon sens, il suffit simplement de choisir entre le fait de se limiter à enseigner ces techniques sans essayer de philosopher en risquant de tenir des propos borderline, ou de creuser le sujet des violences faites aux femmes encore bien plus, pour pouvoir en parler vraiment, sans tomber dans certains travers stéréotypés.

Bref. Est-ce que je reviendrai ? Oui, avec plaisir. Mais toujours mon sens critique de féministe en alerte dans la poche ;)


À demain pour un retour à plus de légèreté, côté sujet aussi bien que côté texte :p


Self-défense-ment vôtre,


Olga



PS : Petite parenthèse mi-futile mi-coup de pub-ile pour finir, mirez plutôt la cohabitation de deux modèles de tees Colère : Nom Féminin sur ma binomette du jour et moi-même ! Pas mal hein (merci à notre instructeur pour la photo) ? :D








mercredi 12 novembre 2014

Le look #Minion (mi-raisin)


Faut-il vraiment vous expliquer, ou bien les images parlent-elles suffisamment d'elles-mêmes ? :P 




Pas facile de faire rentrer une ronde dans un carré, pardonnez la coupe Louis XVI inversée ci-dessous... mais il était d'une incommensurable nécessité que je vous montrasse mes godillots. (dites-moi si je dois réviser ma conjugaison, c'est fort possible que l'instinct ne suffise plus^^)




Ce look si fouillis, flashy et... foufou est donc composé de 3 F, comme pour les 300 Followers Instagrume (expression copyright ;) ) que je célèbre aujourd'hui !

Qui aurait cru que cette appli, avec laquelle je n'ai pas du tout accroché à ses débuts, soit celle sur laquelle je poste aujourd'hui 90% de mes photos, avant de les partager sur FB ou Twitter... J'y partage d'ailleurs plus de "mode" qu'en ces lieux à présent... c'est normal, j'ai surtout envie de vous parler d'autres choses du bout de mon clavier maintenant, j'ai d'ailleurs 3 sujets culture en suspend, vous ne m'en voudrez pas ?








Pour conclure ce chapitre entièrement composé de digressions, je propose la vidéo ci-dessus, parce que "300" et "Minions" dans la même phrase et la même photo, c'est trop tentant pour ne pas balancer un...





Revenons-en à nos moutons (ben oui, on parle de mode... ahem) :




L'outfit of the day est donc allé piocher ses couleurs qui piquent les yeux (j'en ai parfaitement conscience, Cristina, sache-le, c'est voulu) chez H&M (jupe, bonnet et cropped top), New Look (cape/poncho/couverture), Hema (collants assortis aux tifs), eBay (babies, ou "chaussures de petite fille") et Claire's (il y a fort longtemps, pour ces deux yeux globuleux).

Allez, sur ce, je vous fais de gros bisous mes Minions et à très vite !






Minion-ement (?) vôtre,

Olga



jeudi 6 novembre 2014

La "collection d'hiver" de #Colère : Nom Féminin est arrivée ♥

Encore mieux que le Beaujolais Nouveau, cette nouvelle fournée d'accessoires signés Colère : Nom Féminin. Ouais. (En même temps c'est pas dur _haters gonna hate_ je n'aime pas le vin :p )

(Notez, je vous prie, la classe intergalactique du selfie-miroir des toilettes au bureau. Mes journées sont bien remplies, je peine à me poser et pour faire de jolies photos, et pour écrire :/ )



Solidaire (ou faible, qui sait), j'ai une fois de plus craqué pour le tee-shirt ainsi que le tote bag. Si beaucoup se sont enthousiasmés de voir de nouvelles propositions de la part de l'asso (tee shirt au lieu de débardeur, dessin sur le devant avec modèle masculin de dispo ainsi que changement de couleurs pour le tote bag), d'autres n'ont pas aimé le nouveau slogan (si joliment mis en image par la super graphiste Sophie Barel).

Rien de surprenant à ça : pour certaines, le premier message "ta main sur mon cul, ma main sur ta gueule" était trop violent (pour ma part, je n'ai eu que de bons retours dans l'espace public ;) ). Pour d'autres, la question "et ta maman, tu la siffles ?" ne devrait pas avoir à être posée pour dénoncer le problème du harcèlement de rue. On ne peut pas plaire à tout le monde, encore moins à chaque fois. 

Mais pour la défense de cette nouvelle proposition de Colère, je dirais que malheureusement, même si c'est triste de devoir faire appel à l'empathie en ramenant la femme à un statut de mère/la sœur/la femme etc d'un homme, cela reste efficace. C'est un peu comme le féminisme, en fait : on préférerait que tout aille bien dans le meilleur des mondes, sans inégalités, pour ne pas en avoir besoin mais c'est le cas, alors... on milite ;)




Autre agréable surprise, dans l'intérieur du col : la phrase "parce qu'il n'est pas normal d'avoir peur de marcher dans la rue". J'aime le détail, et tout ce qu'il représente :)




Et oui, je mets du L. And I'm fabulous, bitch (comme mon collier Félicie Aussi sur le selfie un peu plus haut, vous offusquez pas les copines ;) ).



Allez, je vous laisse, je retourne en action transports avec Stop Harcèlement de Rue (regardez 100% Mag ce soir, on parle du collectif !), j'ai hâte !

Pas si Colèr-iquement vôtre,

Olga


samedi 1 novembre 2014

Happy #Halloween !



Bon, je ne peux pas dire que c'est ma fête préférée parce que Noël et le Nouvel An, c'est quand même vraiment ma came... mais disons qu'Halloween , c'est le prélude de cette période hivernale de fête et de magie. Moi qui adore me déguiser en plus... raison de plus pour poster quelques photos ici. Oui, c'est vrai, le 31 c'était hier. Mais perso, j'ai décrété que cette année Halloween durerait jusqu'à dimanche soir. Là !






Cette année, et comme quasiment toujours... je n'ai pas pu résister à l'appel d'une idée de costume totalement alambiqué. J'étais un "pirate trans". La barbe (rose) est évidemment un clin d'oeil à Conchita, le jupon arc-en-ciel une revendication politique (#samelove toussa toussa), les bas (c'est un poum poum short en dessous du jupon hein, pas ma culotte^^) et le combo marinière + corset sont évidemment un clin d'oeil à mon créateur préféré le seul et l'unique Jean-Paul Gaultier quant à mon mes accessoires (collier médaillon Pirate des Caraïbes, oui oui, créoles XXL et bandana) c'est la touche pirate... Au final, un joyeux bordel qui me ressemble. Et qui fait appel à un autre univers que j'ai toujours adoré... Le Freak Show :D







Je vous laisse apprécier le talent de mon coloc' (et make-up artist de talent, qui pourra vous conseiller à la boutique Make Up For Ever de La Boétie) Thibaut Lamour !

Puisque l'on cause make-up, petite parenthèse : mon liner/mes cils du jour ont été réalisés grâce aux incroyables patches réutilisables de Mily Make-Up (je vous en reparle plus longuement, très vite) ;)







Ainsi que le raccord costume entre ma BFF et moi-même :)







Comment ne pas vous parler de Jack, tant qu'on y est. Je suis particulièrement fière de son sourire de vampire cette année :p







Allez, sur ce, je file "runaway and join the circus", j'ai encore un paquet de films d'horreur à regarder avant la fin du week-end !







Je termine donc sur un BOUH ! de Didier, qui lui aussi, s'était déguisé :)







Bon week-end et encore HAPPY HALLOWEEN les ami.e.s !



Halloween-ement vôtre,


Olga


PS : ma playlist d'hier, beaucoup de classiques et une nouveauté (découverte grâce à la saison Freak Show d'American Horror Story justement :D) ^^









jeudi 30 octobre 2014

La Minute Féministe #3 : ma première action transport avec #StopHarcèlementdeRue



Il y a maintenant un peu plus de trois mois, j'ai rejoint le collectif Stop Harcèlement de Rue, que je suivais depuis ses débuts sur les réseaux sociaux. L'heure est (presque) au bilan... Je me suis tout de suite sentie "chez moi", avec ces militant.e.s de tous horizons qui ont énormément enrichi mes connaissances sur le féminisme (bien que le collectif ne se revendique pas en tant que tel ;) ). Ces personnes passionnantes et passionnées font aujourd'hui véritablement partie de ma vie.








Jusque là, je me suis limitée aux actions de collage. Cela me permettait de rencontrer, observer, échanger. Sans forcément devoir moi-même, tenir un discours, bien que je connaisse le sujet. Je ne me sens pas encore totalement légitime tant il me reste à apprendre pour être aussi convaincante que convaincue et tant j'ai peur que la rage face à l'inégalité qui bouillonne en moi ne l'emporte sur... toute la pédagogie nécessaire pour faire contribuer à faire avancer les choses durablement.

Mais j'ai rapidement été amenée à me surpasser. Pour notre action à la Fête de l'Huma en septembre, j'ai distribué des tracts avec la #teamantirelous et j'ai du... ouvrir la bouche. Parler. Interpeller. Discuter. Avec les festivaliers, qui n'avaient pas tout leur temps ou qui n'étaient pas d'accord. J'ai trouvé ça très difficile et éprouvant, et je pense que j'aurais pu mieux faire. Mais c'est en forgeant qu'on devient forgeron (paraît-il) et nous nous sommes toutes encouragées et félicitées les unes les autres, les géniales comme les hésitantes. On fera encore mieux la prochaine fois ! Et c'est dire... regardez-donc la vidéo ci-dessous ;)







Lors de la dernière assemblée générale, j'ai discuté avec une des activistes qui gérait la prochaine action transports de prévue, qui me disait qu'elle manquait de volontaires. Comment refuser ? Ni d'une, ni de deux, je me suis inscrite (la boule au ventre, quand même). L'idée est de choisir une ligne de métro et d'y distribuer nos tracts de conseils (illustrés par des extraits du Projet Crocodile de Thomas Mathieu, qui est d'ailleurs en dédicace ce soir de 17 à 20h à la librairie Super-Héros au 175 rue Saint Martin à Paris) sur les réactions à avoir lorsque l'on est victime ou témoin de harcèlement dans les transports.... tandis qu'un courageux fait un petit discours pour présenter le collectif et l'action aux voyageurs de la rame.

Dans ma tête, il était évident que je ne ferai que distribuer tant cela me mettait face à ma timidité. Seulement, le jour de l'action, nous sommes trois à avoir la gorge serrée et le palpitant lâché au galop. C'est la plus ancienne d'entre nous, qui a déjà fait une action transport, qui prend sur elle de "faire le clown" pour que nous, bleues, distribuions les tracts.






Je l'admire. Et je l'envie. J'aimerais tellement en faire de même, mais il me faudra sans doute quelques actions au compteur avant de pouvoir donner moi aussi de la voix... Puis, ma binomette décide de se lancer, par soutien, et pour voir. C'est l'occasion où jamais de sortir de ma coquille, j'en ferai de même un peu plus tard alors... tant pis pour mon amour propre, il est des choses plus importantes en ce monde :)

Elle s'essaie à l'exercice, laissant notre guide du jour souffler un peu, et tout se passe bien. Il n'y a pas de raisons qu'il en soit autrement pour moi. Vient mon tour... et ma voix tremblotante se fait forte, je n'ai pas l'impression de chercher mes mots, je parle avec mes tripes. Et tout se passe bien, là aussi.

C'est épuisant. Mes jambes tremblent. Mais punaise que c'est bon ! C'est encore loin d'être parfait, mais au moins, j'ai essayé. On a essayé. On s'est tirées vers le haut les unes les autres et au delà de mon engagement contre le harcèlement de rue, ce que j'aime dans ce collectif, c'est bien cet esprit d'équipe, de camaraderie, "d'empowerement"...

Les réactions du "public" sont encourageantes. Pas de contradicteurs sur notre chemin ce soir là, juste quelques vents et quelques moues, et ceux qui réagissent nous disent que l'on a raison, qu'ils sont heureux de voir une jeunesse engagée et qu'ils parleront de notre collectif autour d'eux. En somme, après une heure et quart et 400 tracts distribués (ne parlons pas des litres de sueur versés ni de auto-coups de pied aux fesses distribués sur la même période^^)... on peut dire que c'est un succès.

Je me suis inscrite à la prochaine action, la semaine prochaine, j'ai hâte d'y être. Vous venez ? ;)







Super héroïne d'un soir-ment vôtre,




Olga




PS : vous noterez le changement du nom de ma "rubrique"... Pas que ma blagounette "chienne de garde" (un mec m'a appelée comme ça il y a quelques années, quand j'ai pris la défense d'une amie avec laquelle il avait été violent) ne me plaisait plus, mais a) avec mon nouveau boulot, j'ai quelques nouvelles notions de SEO qui me titillent le clavier et b) j'aime le mot féministe, je n'en ai pas peur, alors pourquoi ne pas le revendiquer, finalement ?!



mercredi 29 octobre 2014

hashtag life in plastic

It's fantastic !

Ou pas. On crève vraiment de chaud là dessous. 


Pas follement chic la buée qui se forme sur les parois de ce trench transparent aux heures de pointe dans le métro. On dirait un tupperware dans le micro-ondes (j'aime me balances des fleurs)... Mais à l'air frais, j'avoue, cette combi de sudation est quand même plutôt cool :)






Elle rend encore mieux avec du noir en dessous, mais je ne suis pas encore prête à renoncer aux couleurs. On en reparle bientôt, je pense...





Quant au tee-shirt, je n'ai pas échappé à la folie des "bouches" que l'on voit partout actuellement. À l'évidence ! Et vous ?





Côté fournisseurs du jour, le trench vient d'eBay, le tee d'Undiz, le gilet de chez Mim, la jupe de chez Naf Naf, le béret est un H&M x Sonia Rykiel (2010) le collier Bitch est bien évidemment un Félicie Aussi et les shoes sont des Doc Martens.


Bonne deuxième moitié de semaine à vous, copines et copains.


Plastique-ment vôtre,


Olga






PS : J'expérimente toujours mes photos non "choisies parmi 250"... Je ne suis pas en plastique, contrairement à mon trench. Mes défauts font partie de moi et ils ne me choquent plus. J'espère que vous non plus ;)




mercredi 22 octobre 2014

Comme un #camion !


Avant toute chose, vous estes prié.e.s d'agréer l'expression de mes sentiments dist... l'utilisation ironique de cette tournure.


a) Je déteste cette expression.
b) Selon un mec de mon quartier, la comparaison adéquate devrait plutôt être faite avec un "avion de chasse" ( #harcelementderue ).
c) Je n'aime pas du tout ma tronche dessus (mais je revendique mon droit de vivre même en n'étant pas jolie toussa toussa, c'est un travail sur moi-même comme je vous en ai déjà parlé).



Ensuite, causons du choc des cult... des couleurs.

Ce petit camion, tout mimi, tout rétro, orange se gare parfois près de mon lieu de travail. De peur de le louper avant la fin de mon CDD, j'ai mis ma binômette à la tâche pour m'immortaliser devant. Même si avouons le, avec le vert (et le rose), le mélange n'est pas très heureux. À moins de kiffer le pop art, et autres esthétismes tendrement kitschouilles :)


Côté look c'est assez simple. Ma robe est une Zara (2011), ma veste une Monoprix (Noël 2012), mon collier un Chic Alors!, mon headband est un petit foulard vintage et mes kitten heels sont des Mellow Yellow (les collants couture qu'on voit à peine... viennent de chez Dim :p )...

Maintenant : le jeu des 7 erreurs. Je me suis un peu amusée avec Pic Jointer, j'avoue. Et non, ce ne sont pas deux photos complètement identiques^^



Camionneuse-ment vôtre,


Olga



PS : Ma signature du jour constitue mon d) Au collège, on m'a beaucoup dit que j'avais des bras de camionneuse. À l'époque je n'ai pas répondu avec un doigt tendu bien haut, mais le cœur y est tout autant qu'aujourd'hui, même si j'ai appris à envoyer les gens sur les roses^^ 


vendredi 17 octobre 2014

camaïeu de #prune


Je vous en reparle bientôt, mais cette saison, le violet a le don de m'obséder. Littéralement. (Probablement parce que ça se marie bien avec ma crinière rose, essaie-je de rationaliser, en vain.)

S'il ne faisais pas aussi chaud (je sais que je ne perçois pas les températures comme tout le monde *soupir*) doux, je superposerais les couches pour jouer entres les différentes nuances de cette couleur, mais j'ai comme l'impression qu'il va encore falloir attendre. Vivement... vivement !




Côté fournisseurs officiels du jour... La robe est une H&M Divided, les shoes sont des kickers et la couronne de fleurs vient de chez Claire's. (J'ai aussi mon collier "Gros Cul" de Félicie Aussi, mais on ne le voit pas vraiment :p )


Je vous souhaite à tous un très bon vendredi, et un encore plus beau week-end !

Prune-ment vôtre,


Olga


PS : Prochaine étape, visiblement... "You're turning violet, Violet !"





jeudi 2 octobre 2014

@ la soirée de présentation #kwaymadebyléclaireur



Mieux vaut tard que jamais... Je vais, brièvement toujours, vous parler de la soirée de présentation de la collection capsule Kway x L'Éclaireur à laquelle j'ai été invitée lundi.

L'ambiance était "dark" dans ce luxueux concept store, alors forcément, j'ai misé sur du noir côté dress code. Mais pas question que ce soit triste, ma petite touche d'humour est toujours là...


[Sweat "os" Zara (2012), jupe plissée similicuir vintage, derbies argentées ajourées New Look, tote bag Kiehl's (je vous reparle vite de mon coup de cœur pour cette marque en #beauté), serre-tête chat Katy Perry x Claire's et collier "Bitch" Félicie Aussi]


Petite parenthèse pour montrer à quel point ma #bff ainsi que mon coloc étions raccord ;)


Et voici, enfin, l'attraction de la soirée. Ce très beau Kway noir, marqué d'un oeil à la fois mystique et amoureux, par L'Éclaireur. J'ai beaucoup aimé cette vitrine sur les trois qu'il y avait à la soirée, avec ces perles représentant si bien la préciosité de la pluie. Pour une amoureuse de l'automne-hiver comme moi... ce n'est pas un petit détail :)

Je finis sur une petite note alcoolisée, pour remercier le showroom Robert Dodd de m'avoir invité à cette fête en pleine Fashion Week, où le champagne était très bon et l'ambiance... joliment singulière !

Dark-ement vôtre,


Olga


mercredi 24 septembre 2014

working my inner #grunge


Nouveau travail, nouvel emploi du temps. C'est passionnant, mais c'est prenant. Il va falloir que je reprenne un rythme... Désolée, une fois encore, de ne passer qu'en coup de vent ! Et en retard, ce look grungisant d'été indien n'est plus vraiment d'actualité à présent que j'ai ressorti les manches longues...






La jupe (que portait ma Môman dans les nineties), la chaîne et sac à dos en cuir sont vintage, le tee est un Urban Outfitters (2013), les sandales des Zara (2012) et le pendentif  (et mon porte bonheur depuis 2010^^) est un cadenas pégase Hermès :)



Presque grunge-ment vôtre,



Olga


mercredi 17 septembre 2014

hashtag second hand outfit



En retard encore... pour un look qui date du même week-end que celui que j'ai posté hier. Je l'aime particulièrement car il est à 50% "second hand", et vintage en plus, sachant que c'était pour aller à un vide grenier...



La robe, le collier et la bague sont des trésors vintage. Le sac est un Zara, mes sandales en plastique sont des Sun Jellies et mon headband vient de chez Réserve Naturelle.





Pour finir, je crâne un peu avec la jolie dédicace que mon amie Maureen, qui a passé le dit week-end avec moi, m'a faite sur son magnifique agenda de cette année :D



Fripe-ment vôtre,



Olga



vendredi 12 septembre 2014

Un peu, beaucoup, passionnément... #tutu !



Et... chapeau pointu ?

Voici ma rapide participation, en coup de vent, pour le Challenge French Curves de ce mois-ci, autour de notre jupon de tulle préféré. 

Indémodable, joyeux, léger... Il n'est pas facile à porter et justement, on prend d'autant plus de plaisir à le "sortir", rarement, lorsque l'on a réussi à imaginer une "combinaison gagnante".



Mon tutu à moi, c'est un Repetto (taille L), dit "de répétition". J'adore la danse, mais je bouge à peu près comme une chaise, en bois. Je n'ai pas le gène de la grâce, mais tant pis, on peut bien rêver... ou essayer de se dire que personne n'est en train de faire une fixette sur notre moment gênant de bootyshake.

Bref, mon tutu, c'est un refuge, en quelque sorte. Malheureusement, il est très transparent, j'enfile donc toujours quelque chose en dessous (là, c'est une jupette H&M).

En haut, je porte ma marinière Jean-Paul Gaultier, souvenir de mon stage dans cette formidable maison de couture, auprès (pas assez^^) de mon créateur préféré, en 2010. Ma couronne de fleurs vient de chez H&M, mes pompes sont des Converses, mon sac à dos en cuir est vintage et mon bracelet "Passionnément"_ vous aurez saisi le titre et les marguerites, du coup_ est un Vanina (merci Be Happy Store à Lyon pour la découverte de cette marque il y a déjà plus d'un an 
❤).




Ceci est le look du jour. D'aujourd'hui. Celui que je porte à l'instant même où j'écris ces lignes. C'est mon dernier jour de stage pour le site web de mon magazine préféré, après un an passé là-bas. Lundi, je commence mon premier vrai job dans ma branche, dans une autre boîte. C'est une tenue de fête, mais pas dépourvue de nostalgie. Voilà pourquoi j'ai attendu cette occasion spéciale pour participer à ce joli challenge, tout en poésie, de ce mois-ci des French Curvettes !




Passez un doux week-end ;)




Passionnément vôtre,




Olga



lundi 1 septembre 2014

Shine bright like a #diamond !



Bien que je ne sois pas spécialement fan de l'artiste qui interprète cette chanson aussi catchy que répétitive et pauvre en mots... Mais la formule reste, ben oui, c'est catchy qu'on t'dit... Bref. 

C'est la sensation que j'avais aussi, la semaine dernière. Sur un nuage après tout l'amour reçu en faveur de mon post #fatkini (j'en reparle très vite), boostée par la perspective théorique de pouvoir passer de stagiaire à salariée dans une autre entreprise (ceci est d'ailleurs ma tenue d'entretien^^) et par la douce certitude de passer tout un week-end entre filles avec ma chère amie Maureen.

Entre cette semaine et ce w-e bien remplis, donc, pas le temps de poster et finalement tant mieux. Il fallait que je digère cette affluence exceptionnelle  que je n'avais absolument pas prévue... que je retrouve l'usage de mon clavier. C'est chose faite, et je reprends le rythme avec un look...



La chemise et la jupe sont fraîchement sorties d'H&M, la veste est une Monoprix (collection Noël 2012), les sandales sont des Mim shoppées durant les soldes d'été, le sac Candy est bien évidemment un Furla et ma broche camaïeu de bleu est une Laura des villes Laura des champs. 





Quant à mon jeune tattoo, je sais, il a besoin d'une retouche, je m'en occupe. Et histoire d'expliquer le pourquoi du comment, c'est ironique... C'est à la fois un clin d’œil aux tattoos "old school", au si convoité solitaire (que du coup, je m'offre à moi-même et j'ai "réglé la question") que d'ailleurs, dans mon pays natal, se porte sur la main droite ;)


C'est tout pour ce soir. Je vous dis à très vite, j'essaie aussi de m'occuper des photos de Russie, ça commence à dater... On est en septembre, juste ciel^^


Des bisous !



Diamant-ement vôtre,




Olga


PS : Celles qui me connaissent bien, savent à quel point c'est aussi une référence à Marilyn... à sa chanson que je déteste adorer car c'est tout ce que je ne suis pas, mais qui témoigne avec un glamour rétro irrésistible d'une époque de notre société, pas si révolue que ça ;)