Nouveau travail, nouvel emploi du temps. C'est passionnant, mais c'est prenant. Il va falloir que je reprenne un rythme... Désolée, une fois encore, de ne passer qu'en coup de vent ! Et en retard, ce look grungisant d'été indien n'est plus vraiment d'actualité à présent que j'ai ressorti les manches longues...
La jupe (que portait ma Môman dans les nineties), la chaîne et sac à dos en cuir sont vintage, le tee est un Urban Outfitters (2013), les sandales des Zara (2012) et le pendentif (et mon porte bonheur depuis 2010^^) est un cadenas pégase Hermès :)
En retard encore... pour un look qui date du même week-end que celui que j'ai posté hier. Je l'aime particulièrement car il est à 50% "second hand", et vintage en plus, sachant que c'était pour aller à un vide grenier...
La robe, le collier et la bague sont des trésors vintage. Le sac est un Zara, mes sandales en plastique sont des Sun Jellies et mon headband vient de chez Réserve Naturelle.
Pour finir, je crâne un peu avec la jolie dédicace que mon amie Maureen, qui a passé le dit week-end avec moi, m'a faite sur son magnifique agenda de cette année :D
Voici ma rapide participation, en coup de vent, pour le Challenge French Curves de ce mois-ci, autour de notre jupon de tulle préféré.
Indémodable, joyeux, léger... Il n'est pas facile à porter et justement, on prend d'autant plus de plaisir à le "sortir", rarement, lorsque l'on a réussi à imaginer une "combinaison gagnante".
Mon tutu à moi, c'est un Repetto (taille L), dit "de répétition". J'adore la danse, mais je bouge à peu près comme une chaise, en bois. Je n'ai pas le gène de la grâce, mais tant pis, on peut bien rêver... ou essayer de se dire que personne n'est en train de faire une fixette sur notre moment gênant de bootyshake.
Bref, mon tutu, c'est un refuge, en quelque sorte. Malheureusement, il est très transparent, j'enfile donc toujours quelque chose en dessous (là, c'est une jupette H&M).
En haut, je porte ma marinière Jean-Paul Gaultier, souvenir de mon stage dans cette formidable maison de couture, auprès (pas assez^^) de mon créateur préféré, en 2010. Ma couronne de fleurs vient de chez H&M, mes pompes sont des Converses, mon sac à dos en cuir est vintage et mon bracelet "Passionnément"_ vous aurez saisi le titre et les marguerites, du coup_ est un Vanina (merci Be Happy Store à Lyon pour la découverte de cette marque il y a déjà plus d'un an ❤).
Ceci est le look du jour. D'aujourd'hui. Celui que je porte à l'instant même où j'écris ces lignes. C'est mon dernier jour de stage pour le site web de mon magazine préféré, après un an passé là-bas. Lundi, je commence mon premier vrai job dans ma branche, dans une autre boîte. C'est une tenue de fête, mais pas dépourvue de nostalgie. Voilà pourquoi j'ai attendu cette occasion spéciale pour participer à ce joli challenge, tout en poésie, de ce mois-ci des French Curvettes !
Bien que je ne sois pas spécialement fan de l'artiste qui interprète cette chanson aussi catchy que répétitive et pauvre en mots... Mais la formule reste, ben oui, c'est catchy qu'on t'dit... Bref.
C'est la sensation que j'avais aussi, la semaine dernière. Sur un nuage après tout l'amour reçu en faveur de mon post #fatkini (j'en reparle très vite), boostée par la perspective théorique de pouvoir passer de stagiaire à salariée dans une autre entreprise (ceci est d'ailleurs ma tenue d'entretien^^) et par la douce certitude de passer tout un week-end entre filles avec ma chère amie Maureen.
Entre cette semaine et ce w-e bien remplis, donc, pas le temps de poster et finalement tant mieux. Il fallait que je digère cette affluence exceptionnelle que je n'avais absolument pas prévue... que je retrouve l'usage de mon clavier. C'est chose faite, et je reprends le rythme avec un look...
La chemise et la jupe sont fraîchement sorties d'H&M, la veste est une Monoprix (collection Noël 2012), les sandales sont des Mim shoppées durant les soldes d'été, le sac Candy est bien évidemment un Furla et ma broche camaïeu de bleu est une Laura des villes Laura des champs.
Quant à mon jeune tattoo, je sais, il a besoin d'une retouche, je m'en occupe. Et histoire d'expliquer le pourquoi du comment, c'est ironique... C'est à la fois un clin d’œil aux tattoos "old school", au si convoité solitaire (que du coup, je m'offre à moi-même et j'ai "réglé la question") que d'ailleurs, dans mon pays natal, se porte sur la main droite ;)
C'est tout pour ce soir. Je vous dis à très vite, j'essaie aussi de m'occuper des photos de Russie, ça commence à dater... On est en septembre, juste ciel^^
Des bisous !
Diamant-ement vôtre, Olga
PS : Celles qui me connaissent bien, savent à quel point c'est aussi une référence à Marilyn... à sa chanson que je déteste adorer car c'est tout ce que je ne suis pas, mais qui témoigne avec un glamour rétro irrésistible d'une époque de notre société, pas si révolue que ça ;)
En voilà une thématique difficile pour moi, celle du maillot de bain. J'ai beau m'accepter de mieux en mieux au fil des ans (j'avais parlé de mon histoire vis à vis de mon poids et de mon physique ici et là sur l'ancienne version du blog) et constater que ma technique du "fais comme si tu t'en fichais" finit par effectivement m'aider à oublier le potentiel regard des autres, à force... Il m'arrive encore d'être vulnérable à ce niveau là, parfois. Principalement dans les cabines d'essayages, lorsqu'un 42 à l'air d'un 36, bloqué à mi cuisse (voilà entre autres pourquoi je déteste les pantalons) et... au moment d'enfiler un maillot de bain.
Vous me direz, j'ai de la chance, j'ai peu l'occasion car je n'aime pas le soleil (et il nous le rend bien, à mon "teint de porcelaine" à et moi) et que la perspective d'une journée à la plage m'inspire avant tout beaucoup d'ennui... Mais quand même. Cela faisait bien deux ans que je n'avais pas eu d'occasion de ce type, et deux ans que mon corps a beaucoup changé (grosse prise de poids, grosse perte de poids et petite reprise de poids)... et le hashtag #fatikini avait bien buzzé avant que je ne parte brièvement en vacances. C'était le moment où jamais de se lancer. L'auto-coup de pied au derrière, il n'y a que ça de vrai pour avancer, du moins en ce qui me concerne, c'est aussi comme ça que je "soigne" ma timidité et non-spontanéité naturelles...
Quand je regarde les photos, celles où je fais l'idiote (trrrrrès clairement) comme celles où j'avais envie d'être juste "jolie"... le résultat n'est pas à la hauteur de mes espérances. Ce serait mentir que de prétendre l'inverse, même si j'ai envie que ma volonté d'aimer mon corps "imparfait" aussi bien que celui des autres tel qu'il est (et tels qu'ils sont) arrive enfin à devenir totalement naturelle, évidente et non légèrement "forcée" par moments. J'ai hésité à partager ces clichés (pris en contre-plongée, c'est pas flatteur, et en plus pas dans mon maillot taille haute idéal donc ventrou à l'air) et au final, je me suis dit que a) si je ne le faisais pas, je serais une sacré hypocrite et b) me jeter à l'eau (haha) serait un bon moyen de me faire avancer, justement.
Et c'est exactement ce qu'il se passe, au moment où je les poste je me dis simplement que... que je me plaise ou non, que je plaise tout court ou non... j'ai simplement le droit de mettre un maillot de bain, de me montrer ainsi à la face du monde et de prendre des photos de vacances si ça me chante. Bref, j'ai le droit d'exister et surtout de vivre, comme tout le monde. Au final, je suis fière de ce "petit acte de bravoure", de cette petite victoire personnelle sur ce qu'il me reste de complexes, en partageant ces photos qui ne me plaisent pas tant que ça, mais qui ont le mérite de ne pas mentir.
Passer sa vie à s'enjoliver, à ne mettre que des choses "qui amincissent" (n'est-ce pas Cristina ?), à se soucier de sa morphologie avant de penser à ses goûts... c'est fatigant et absolument pas nécessaire, en vrai. Attention, je me sens bien lorsque je me "mets en valeur" mais je veux aussi pouvoir me sentir épanouie lorsque je ne fais pas tout pour, sans me sentir coupable. C'est aussi pour ça que je me fais des journées "no make-up", pour ré-apprendre à m'aimer me supporter (dans un premier temps, ce sera pas mal), sans maquillage, ce dont nous reparlerons ultérieurement...
En attendant, quel est votre point de vue sur la question ?
Fatkini-ement vôtre,
Olga
PS : Un petit coucou en passant au Challenge French Curves de ce mois-ci, dont la thématique est assez similaire (Beach Party) et surtout au post d'Isabelle sur le sujet, qui m'a beaucoup touchée.
PPS : Wahou. Je ne m'attendais pas à tant... d'AMOUR ! Merci à mes amis m'ont encouragées sur Facebook, pour tous les likes et les partages (notamment la Une Humeurs d'Hellocoton) qui font que mes audiences enregistrent des records sans précédents :) Je tiens aussi à préciser que le "soutien" que j'apporte par la présente au hashtag #fatkini est pour moi un moyen de modestement contribuer à essayer de faire avancer les mentalités loin du "modèle unique" que nous vend (oui vend, si on se réveillait sans le moindre complexe imaginez le nombre de boîtes en faillite subitement...). Je n'ai pas plus envie que toute autre personne sensée et sensible de vouloir continuer de diviser les "rondes" des "minces" (s'en prendre à une personne parce qu'elle est "trop mince" est aussi NUL que de le faire pour le cas inverse, je ne rentrerai plus JAMAIS dans ce jeu), mais comme le modèle unique n'est que d'un côté de la balance, il est pour l'instant nécessaire de mettre tout son poids (notez la métaphore filée) sur l'autre pour rétablir l'équilibre. Toutes les silhouettes sont belles ! Vivement que ça s'officialise...
Privet tout le monde ! Me voilà de retour dans l'hexagone après ma semaine au bord de la Volga (en Russie pour ceux qui ont zappé l'existence de ce fleuve depuis les cours de géographie du collège :p). Je n'ai pas encore fini de trier les photos, je pense vous poster tout ça en début de semaine prochaine. En attendant, petit preview avec une tenue très simple, dans un décor de circonstances...
Pour me faire prendre en photo devant ce momument bien kitsch, vestige du passé, il me fallait une robe de type "cарафан" (sarafane), qui évoque la robe longue droite à bretelles traditionnelle ruse mais dont on peut qualifier certaines robes d'été très simples, comme celle-ci, encore aujourd'hui. Elle convient carrément pour la campagne (si on oublie le risque d'un coup de soleil malheureux avec le dos nu, que l'on ne voit pas ici, merci de me faire penser à refaire un look avant la fin de la belle saison^^) et c'est tant mieux, je l'ai payée une misère chez Zara ;) Les sandales quant à elles viennent de chez Mim (je n'ai jamais expédié un look aussi rapidement, juste ciel !).
Puisque la décoloration/coloration rose a bien abîmé mes cheveux, autant ne pas aggraver la situation. Me suis-je dit. C'est bien pour ça que j'ai eu envie de tester des méthodes pour boucler mes cheveux sans chaleur... et sans investissement financier supplémentaire^^
J'ai donc eu envie de tester la méthode des papillotes (c'est aussi effrayant en vrai que ce qu'à l'air de voir mon chat ci-dessus mais ça vaut le coup, promis), que j'ai découverte ainsi, sur la châine Youtube d'Esther : Se Sentir Belle...
Elle explique tout ceci bien mieux que moi mais en gros : on utilise des feuilles d'essuie tout pliées en bandelettes comme des bigoudis. Sur cheveux secs ou humides, selon. On enroule nos mèches autour puis on noue le tout en haut du crâne puis on laisse poser ça quelques heures, ou... la nuit.
Premier essai [pas de photo, gros fail^^] : sans réfléchir, je fais de toutes petites mèches... sauf que le tuto, et les autres que j'ai vus, montrent des femmes aux cheveux longs voire très longs... résultat logique de l'expérience, je me retrouve avec une "couronne" afro autour du crâne, mi-Bozo (le clown) mi-Krusty (le clown).
Je passe bien une demi heure à brosser, humidifier, lisser, fondre mes mini bouclettes en une seule grande... Pour retrouver un aspect décent. Au final, c'est même joli, même si c'est loin des ondulations rétro de Dita Von Teese dont je rêvais à la base^^
Les autres essais, je les ai faits avec des "papillotes" plus épaisses et moins nombreuses : c'est par-fait. Je suis particulièrement fan de mon "one shoulder" ou "side hair" ci-dessous, où j'ai un côté plaqué (raté en fait mais on n'en parlera pas) et l'autre bien bouclé !
Question tenue, à moins que l'atmosphère soit vraiment chargée d'eau : ça tient quelques jours (même sans laque), tout en se relâchant petit à petit. Je suis vraiment ravie de cette découverte, que je vous recommande "chaudement" (I'm so funny).
Eh oui, c'était il y a déjà un mois que j'ai finalement sauté le pas... L'occasion de faire un rapide bilan de la manière dont j'ai vécu, et que je vis la chose :) Et puis parce que ça fait longtemps (depuis un mois, donc) que je n'ai pas causé beauté en ces lieux ! Côté beauté
Premièrement, je ne dirai plus jamais "mes cheveux ne poussent pas". Je savais que j'allais rapidement avoir des racines mais PUNAISE je ne penserai pas voir du brun pointer le bout de son nez sur mon horizon capillaire aussi rapidement ! Je dois presque être à un centimètre, à présent.
Mes cheveux SONT abimés. Oui, mais pas plus qu'avec une autre manipulation chimique intense qu'il me soit arrivé de tester auparavant... Je gère donc ça à grand renfort de soins réparateurs, et apaisants pour le cuir chevelu (j'y reviens vite). Les gens sont d'ailleurs surpris, même quand je leur fais toucher mes pointes (partie la plus rêche de ma crinière) En termes d'entretien, comme ma couleur déteint bel et bien à force de shampoings, normal, je remets régulièrement un peu de Color Pop. Proprement, au pinceau, ou mélangé à un masque avant de passer sous la douche. "Ça fait la blague", comme dirait l'autre et surtout je n'ai plus peur d'être sous la pluie sans parapluie, ce qui est une bonne chose ces jours-ci, je ne dégorge quasiment plus^^ Par contre, je flippe un peu de m'attaquer à mes racines. Dès fois que la décolo déborde sur le cheveu déjà décoloré et abîmé et ne le casse (auquel cas je finis avec un balais brosse sur la tête) ou au contraire de laisser une "bande" brune en répartissant mal le produit... Je vais donc attendre un peu avant de me lancer, et voir si je ne peux pas faire juste la décolo des racines chez le coiffeur et faire le reste chez moi, je vous dirai ce qu'il en est. Ma couleur est plus claire, je suis passée d'un fuschia à un rose pastel, je préfère. Les parties orangées (celles qui étaient restées "blond jaune" et non "blond blanc" après trois décolorations successives) mais cela ne me dérange pas. Encore une fois, ça me donne la sensation d'avoir des "reflets" naturels sur une couleur qui ne l'est absolument pas :) Tout comme je n'ai pas longtemps supporté le contraste sourcils bruns/cheveux rouges il y a deux ans, je ne l'ai pas supporté avec mon rainbow hair rose. Depuis peu je mets donc du fard rose dans mes sourcils...
Côté mode
Avoir les cheveux flashy, ça change quand même pas mal la donne en matière de fringues. Je me vois mal porter du rouge à présent, par exemple. À présent j'ai des envies de vert et de bleu, c'est naturel il faut croire puisque c'est complémentaire... J'oscille entre l'envie de m'habiller comme bon me semble quitte à vraiment piquer les yeux et un peu plus de réflexion, qui me pousse à me vêtir de manière plus "sage", pour ne pas tomber dans la caricature bien que je n'y voie pas tellement de mal à la base étant excentrique de nature.
Côté boulot
Je vous l'ai déjà dit, je suis en stage et l'ambiance est parfois un peu spéciale. Le stagiaires, aussi "bons" soient-ils, sont laissés dans leur coin, entre eux. On ne nous adresse la parole quasiment que pour les directives, le reste du temps nous sommes quasiment invisibles (je ne critique pas, c'est un fait... auquel je me suis faite, à force). Eh bien je peux vous dire que ce n'est plus mon cas. On ne voit peut être qu'une tignasse qui flotte à 1 mètre 70 du sol mais en tout cas on y fait attention. On me sourit, on me dit bonjour, on me pose des questions sur comment et pourquoi j'ai fait ça, on me complimente... Bref, je ne regrette pas du tout cette décision, j'ai la sensation de m'être en fin fait une place, aussi petite soit-elle, au bureau.
Je suis également en train de chercher pour "la suite", car mon stage se termine fin septembre. Il va sans dire que mon amour de ce qui sort de l'ordinaire sait se modérer quand il s'agit d'emploi. J'ai bien évidemment mis ma photo de CV en noir et blanc... D'ailleurs, ça n'a pas loupé. Lors de mon premier entretien on a ouvert la porte et fait "oui ?" (genre "c'est à quel sujet ?") puis eu une seconde de choc quand j'ai dit que c'était moi le rendez-vous de neuf heures^^ Une fois que l'on a parlé, je suis redevenue une candidate tout aussi sérieuse que les autres. Non, la teinture n'a pas attaqué mon cerveau et c'est bon de constater qu'elle n'a pas non plus atteint celle de mes interlocuteurs. Du moins... pour l'instant. Affaire à suivre !
Côté rue
Les premiers jours, j'avais plus de regards insistants. Comme il n'y avait pas de racines je pense, on voit que je viens de sauter le pas ou que je porte une perruque. Une fois qu'il y a des racines, c'est normal et installé, ça suscite moins la curiosité de la foule. Mais la dite curiosité est là, comme elle l'a toujours été. Je porte des looks "décalés" depuis l'adolescence, j'ai l'habitude d'être dévisagée et la plupart du temps je m'en contrefiche même si je le remarque. Aujourd'hui les regards vont plus vers mon visage que vers mes fringue, voilà la seule vraie différence. Pour ceux qui sont vraiment et spécifiquement intrigués par ma chevelure rose, je note que c'est plutôt de manière positive. Les gens me sourient, surtout les petits vieux, assez étrangement. Ou logiquement, au contraire, "les cheveux c'est fait pour s'amuser" paraît-il et je dois simplement faire une sorte d'écho à "la jeunesse" en général. Quelles que soient les raisons qui motivent ces sourires (tant qu'ils ne sont pas pervers -_- )... ça fait du bien nomdidjou !!!
Côté vie de tous les jours Je ne peux plus dire qu'il n'y a que les chats qui mettent des poils partout. En rose, je suis grillée. Mais pour l'instant, c'est plutôt à mon avantage : comme je m'émerveille encore de cette couleur nouvelle sur le dessus de mon crâne, retrouver des cheveux au fond du lavabo ou en masse sur ma brosse devient un moment cool^^ Quant à ma relation avec cette version de moi-même aux tifs roses... Elle s'est nettement améliorée. Déjà parce qu'un changement capillaire, surtout radical, fait toujours du bien. On respire mieux avec ce nouveau départ, c'est sûr, et c'est ce pourquoi j'ai beaucoup "joué" avec ma chevelure au fil des ans (bref aperçu en bonus un peu plus bas :p ). Mais aussi parce que j'ai vraiment la sensation que mon extérieur reflète mon intérieur, je me sens moi comme rarement je l'ai éprouvé par le passé. Je me sens moins timide, plus assurée, plus jolie et plus cool. Bref, je suis heureuse comme ça et j'espère pouvoir garder cette couleur sur la tête un petit moment... jusqu'à ce que d'autres envies irrépressibles ne me viennent !
... que j'aime les motifs floraux. Ou peut-être que si en fait, qui sait. Mais il fallait bien trouver le moyen de titrer sur une robe que je vous ai déjà présentée ! Oui je le dis et je le répète, je suis une récessionista con-vain-cue. Vive le recyclage, les vêtements ne sont pas faits pour n'être portés qu'une seule fois et malheureusement, malgré cette conviction intime, cela m'arrive quand même. Vous aussi je suppose, non ?
À part ça, côté news, j'ai enfin décidé de me lancer et d'envoyer ma candidatures à l'émission Les Reines du Shopping hier. Quitte à passer pour une "ksos" devant la France entière avec 4 chances sur 5 de manquer le prix à la clé du jeu, autant en profiter pour rigoler. Quand j'ai commencé à regarder l'émission, je n'aimais pas trop Cristina. Je trouve ses positions trop fermées sur certains sujets (la longueur des jupes et robes pour les femmes âgées et/ou rondes notamment) _ même si je la rejoins sur l'appel national à l'abandon définitif des leggins et des sourcils épilés trop fins^^_ et ses "tics de langage" me paraissent faux et exagérés. Mais je me suis fait prendre au jeu, elle est quand même drôlement sympathique cette petite dame :)
Affaire à suivre, donc :P
En attendant, le look du jour a été imaginé avec : ma robe tournesols Forever 21, mes ballerines Zara (2011), mon bracelet de perles Thomas Sabo, mon headband rétro Réserve Naturelle ainsi que mes nouvelles boucles d'oreilles, ersatz absolus des Mise en Dior, également de chez Réserve Naturelle :)
Celles qui me suivent depuis un moment savent que je me suis auto-diagnostiqué un bien drôle de syndrome : l'à propos vestimentaire (sens de). Par exemple : je vais au don du sang en rouge ou à un entretien d'embauche pour un site animalier avec une jupe verte à dents de crocodile. J'aime être "dans le thème", même s'il n'y a pas de dresscode. Voilà tout. Je n'ai que peu d'occasions de me déguiser et il n'y a jamais trop de (bons) prétextes à jouer avec les fringues (oui, pour moi la mode est un jeu, il faudra que je développe cette idée ici un jour^^).
Tout ça pour vous expliquer pour moi j'ai joué à Rosie The Riveter pour aller une seconde fois coller des affiches contre le harcèlement de rue avec le collectif Stop Harcèlement de Rue, comme la semaine passée. Et je le vis bien :D
Le look "récessionista" du jour, enfin d'hier mais vous m'suivez, était composé d'une robe/chemise Gap (2013), d'une ceinture et d'un bandana vintage, de sandales Monoprix (2012), d'une montre Casio, d'un collier "Gros Cul" (c'est de l'auto-dérision mais aussi un clin d'oeil à ces réflexions non solicitées que je me prends quotidiennement dans la rue : sens de l'à propos/CQFD) Félicie Aussi, de boucles d'oreilles Gemini A, de mon tote bag Colère : Nom Féminin "Ta Main Sur Mon Cul, Ma Main Sur Ta Gueule" et de lunettes de soleil Asos (2012)
Petite parenthèse pour me plaindre _très gentiment_ d'une diva de plus pour m'avoir faussement devancée. Après Lady Gaga pour m'avoir piqué mon surnom d'enfance (d'où le nom de mon précédent blog^^), je fais un pied de nez à Beyoncé (mais seulement après P!nk, haha), qui a récemment défrayé la chronique avec sa photo "We Can Do It"... en postant trois photos que j'ai fait ces quatre dernières années, just for fun, parce que Rosie est une icône que l'on adore copier et détourner (I au lieu de We) :)
Rosie the Riveter-ement vôtre,
Olga
PS :Petites photos du collage d'hier soir à Montmartre. J'ai encore passé un très bon moment, agréable, militant et instructif en bonne compagnie, j'ai hâte d'y retourner lundi prochain !
Tout d'abord, un joyeux premier anniversaire au Challenge French Curves, que je suis sans y participer depuis plusieurs mois. Maintenant que le blog repris du service et surtout en voyant ma copine Isa jouer le jeu, je me suis dit... pourquoi ne pas mettre mon grain de sel finalement, moi aussi ? Après tout j'adore ça, les thème, surtout que ce mois-ci, on nous propose d'incarner une femme qui nous inspire ♥
J'avais tout d'abord pensé à Marilyn Monroe, of course, en me disant que des bouclettes de couleur rose, ce serait sympa. L'idée a été (très joliment) réalisée avant que je ne me bouge les fesses et surtout... quitte à jouer ce jeu... autant choisir une personne qui m'inspire au quotidien depuis des années, ma chanteuse préférée depuis mes 12 ou 13 ans je crois bien... P!nk ! Il ne s'écoule pas un jour sans que je ne l'écoute, je pense.
Bon, je préviens de suite, c'est pô flagrant. Et en réfléchissant à ce thème je me rends compte à quel point cette inspiration a probablement contribué à la construction de mes goûts éclectiques, de mon féminisme et de mon... caméléonisme ! Sans parler de cette irrépressible envie de cheveux roses, bien sûr^^ Bref, sans même que je cherche spécifiquement à lui ressembler, on a quelques points communs visibles...
La difficulté quand on est "caméléon", c'est justement que l'on n'a pas un look spécifique. Regardez donc quelques une de ses photos et surtout ses magnifiques clips, elle se métamorphose à chaque fois... Alors pour créer une ressemblance, laisse béton. J'ai donc essayé tant bien que mal (maudite humidité qui a tué mes jolies boucles :( ) de faire une allégorie à la pochette d'un de ses albums, I'M Not Dead.
Marinière rouge, allusion aux tatouages old school et attitude graou-esque, je suis loin d'avoir sa méga classe intergallactique de badass (of the dead) ! Mais tant mieux, ça me fait avancer, c'est bien ça le principe d'une inspiration, pas vrai ? ;)
Évidemment, j'ai fait le look à ma sauce. Bien que j'aime le kitsch de ces années 90/2000 dans lesquelles j'ai grandi, hors de question d'enfiler un jean taille basse, ni de faire dans le déguisement total, car ce n'est pas le but.
Clin d’œil à une autre grande femme de ma vie également, la première même, puisque je porte une jupe piquée à ma Môman, vintage donc^^ (edit : elle vient de me dire qu'elle est circa 1994, 20 berges et elle est toujours là !). Je me souviens encore du temps où elle la portait, quand j'étais petite... En plus, j'ai eu le droit au compliment du siècle (ou presque) d'une collègue à ce sujet, qui me disait que j'aurais eu le droit à un "ma chériiiie c'est magnifaïque" pour le récent thème "stylée en mixant les imprimés" des Reines du Shopping. Gros laul.
Côté "fournisseurs officiels", la marinière est un vieux top Tex, le gilet perfecto en jean vient de "chez le Chinois" de mes années d'étudiante, les sandales de chez Forever 21, le collier "Love Is All" (clin d’œil au dernier album The Truth About Love de P!nk aussi, finalement) vient d'une boutique Etsy et mon sac 100% récup est signé Anne Van Djik.
Plus que jamais P!nk-ement (et rondement :) ) vôtre,
PS : Quelques clips, en bonus, de mon idole... pour le plaisir de la (re)découvrir, dans toute sa splendeur de performeuse de haut niveau, d'artiste engagée bourrée d'humour et pour, ses messages positifs et pour sa magnifique voix bien sûr :)
Un peu kamikaze la fille, qui décide d'enfiler son épaisse salopette en jean alors que le mercure semble "enfin" (du moins selon... le reste du monde) s'être stabilisé dans les températures caniculaires de rigueur en juillet... Mais bon, espérons que les couleurs pastel me sauvent un petit peu en réfléchissant les brûlants rayons de ce cher astre solaire en plein boom saisonnier !
Il n'empêche que pour lutter contre la grisaille du bureau... C'est quand même une tenue idéale. Et confortable, en plus. Parce que bon, affronter les transports en commun alors qu'on frise les 30°C dehors, ça nécessite une bonne armure de réconfort, surtout en fin de semaine !
D'ailleurs, ma carapace du jour est composée d'un body Monoprix (2013), d'une salopette en jean vintage dénichée chez Kilo Shop, d'un collier Donut dont la provenance m'est inconnue puisque c'est le cadeau d'une amie (Sophia ♥), d'un headband Réserve Naturelle, de mon sac Anne Van Djik acheté à Amsterdam ainsi que de mes magnifiques tennis The Man Repeller x Superga !
Betty, ma chère Betty. En voilà une série que j'apprécie toujours autant malgré ses quatre saisons achevées il y a bien longtemps... Sous son apparence ultra-colorée et comique, c'est vraiment une très bonne série. Intelligente, gentille et capillotractée, elle utilise beaucoup de stéréotypes pour mieux les démonter. Les "méchants" ne sont pas "juste des méchants" et les "gentils" ne sont pas forcément des "winneurs" super sexy. Bref, Ugly Betty a tout pour plaire (haha), mais souffre d'une profonde méconnaissance des gens, je crois. Mais bon, ce n'est pas tout à fait le propos du jour^^
Le propos du jour c'est mon fameux "sens de l'à propos vestimentaire". J'ai porté cette tenue, et en particulier ce collier, à l'occasion du départ de ma chef. Sachant que je suis actuellement dans la presse féminine, où je sens clairement que je suis le vilain petit canard avec ma taille 42 :P Pour faire court : cet hommage stylistique est aussi un clin d'oeil à une période de ma vie.
Le look du jour est composé de... ma chemise peplum à pois Pepa Loves (2012), ma veste dorée COS (2013), ma jupe plastique H&M (automne 2013), mes méduses à talons, dénichés sur eBay, avec soquettes (il pleuvait et j'avais furieusement envie de les mettre quand même), headband Réserve Naturelle, boucles d'oreilles Six et surtout collier Ann Boelyn/Ugly Betty trouvé sur Etsy :)
Hier j'ai eu la chance (et la folie de tenter) de pouvoir assister à une représentation gratuite exceptionnelle de la pièce jouée actuellement dans la salle Richelieu de la Comédie Française. Il y en a une chaque 14 juillet, (pour la fête nationale il va sans dire) et cette année il s'agissait de Lucrèce Borgia de Victor Hugo, avec Guillaume Gallienne dans le rôle principal. Si vous suiviez l'ancienne version du blog, vous savez à quel point j'aime cet acteur époustouflant... et donc à quel point une opportunité pareille était dingue, surtout pour mon budget étudiant^^
Bien sûr, la distribution des places était basée sur le principe de "premier arrivé, premier servi". Logique. D'où "la folie" évoquée plus haut, rapport à la queue de Pologne et aux maux de jambes, pattes et dos. Mes amis Stéphanie et Sébastien m'ont accompagnée. Nous sommes arrivés vers 11h30 pour une distribution des places à 13h, la pièce démarrant à 14h, en se disant que c'était bien tard. Étrangement, ça ne l'était pas. Il ne devait y avoir "que" 250 à 300 personnes devant nous (estimation de la police et non des syndicats :3 ) et on a compris que ce n'était pas peine perdue. Certains, comme pour un concert de Lady Gaga ou de Johnny (ciel que cette comparaison me pique le bout du clavier, mais c'est pour illustrer) étaient là depuis... Longtemps. Chaise pliante et tout. J'avoue que si j'avais été seule, j'aurais peut-être tenté le coup pour être au premier rang, moi aussi. Nous, nous nous sommes simplement contentés d'un petit pique nique debout, fort agréable. Perturbé par l'apparition presque magique d'un Guillaume Gallienne, souriant et "casual", traversant la queue pour se rentre au théâtre ! Le sang de la groupie adolescente en moi n'a fait qu'un tour. C'est réel, je vais le voir sur les planches... À partir de 13 heures tapantes (ce que j'apprécie la ponctualité, merci encore ô Comédie Française), nous avons commencé à avancer vers l'entrée. Vingt petites minutes plus tard, nous étions assis au premier balcon de cette salle mythique, chargée d'histoire, luxueuse, baroque, opulente, lumineuse... Nous mesurons notre chance et attendons avec impatience le lever de rideau. Juste avant le début de la pièce, entre en scène une femme, comédienne sans doute, qui exprime son soutien à la cause des intermittents du spectacle au nom de toute la troupe sous un tonnerre d'applaudissement. On ne sait pas à quel point ces derniers sont pour le message politico-social ou parce que la pièce va bientôt commencer, mais quel écho dans ce théâtre... Lever de rideau, la pièce commence. La première scène se déroule à Venise, les acteurs sont masqués et clament leurs répliques avec force, et élégance. On a l'impression d'être revenus des années en arrière. Pour moi qui ai plutôt l'habitude du théâtre "de boulevard", façon Vaudeville, c'est très nouveau. J'avoue avoir eu peur un instant de m'endormir dans ce confortable siège, puis je me prends au jeu des acteurs, à l'histoire qui commence à se dessiner. Puis, Guillaume Gallienne, ou plutôt Lucrèce Borgia, fait son entrée. Il marche avec une fluidité que je ne connaissais encore à aucun être humain sur les planches que des figurants posent devant lui, sur des tabourets. Il paraît flotter au dessus du sol. Incroyable. Après quelques instants totalement hors du temps, le personnage se révèle, et l'intrigue avec. Lucrèce, détestée par toute l'Italie, se cache. Elle vient voir son fils de vingt ans, qui ne sait pas qu'elle est sa mère mais à qui elle écrit tous les mois depuis des années. Il dort, elle le regarde avec tendresse, s'extasie de sa beauté, et souffre du fait qu'il ne puisse jamais l'aimer... Le reste de l'histoire, je ne vous le conterai pas. Lisez la pièce, allez la voir sur scène. Vraiment. Dans tous les cas, comme vous pouvez l'imaginer, c'est un drame. Un vrai. Les enjeux sont graves pour ces personnages imaginaires (Victor Hugo a "quelque peu" modifié la vie de la famille Borgia dans son œuvre) mais les émotions dans les voix (surtout Guillaume, sorry !) et les yeux de leurs interprètes sont bien réelles. Quelle passion, quelle rage, quel désespoir. Je n'ai jamais autant frissonné au théâtre. Jamais. Et pourtant j'ai aussi eu la chance de voir Danielle Darrieux dans Oscar et la Dame Rose il y a quelques années, c'est dire.
Les deux heures et demi de la pièce s'écoulent, sans entracte et sans que nous les ayons vu passer. La fin n'est pas heureuse, il va sans dire. Mais quelle beauté, quelle belle tragédie ! La salle est debout, hurle "bravo", applaudit à s'en faire mal aux mais (je sais de quoi je parle). Les comédiens semblent aussi émus que surpris de cette standing ovation qui n'en finit pas, clôturant presque les représentations de Lucrèce Borgia (le 20 juillet, la programmation du théâtre change) à la Comédie Française.
Nous chantons la Marseillaise avec eux, les applaudissements repartent de plus belle. La salle entière est touchée. Elle peine à revenir à la réalité lorsque le rideau se baisse pour de bon, et que les lumières se rallument doucement. Nous sortons, joyeux malgré les évènements tragiques joués à l'instant sous nos yeux, émerveillés et incroyablement enthousiasmés par le jeu extraordinaire de cette troupe de renommée... Guillaume a brillé, au delà de mes espérances, mais j'ai également découvert de très bons acteurs à ses côtés. Heureusement que j'ai gardé le programme, pour une fois, non seulement je vais pouvoir le faire autographier mais en plus il me permet de découvrir leurs noms, pour les suivre.
Groupie un jour, groupie toujours, je fais subir à mes compagnons du jour quelques minutes de plus à attendre devant le théâtre, et plus précisément, devant son entrée de service. Je souhaite saluer l'artiste, et lui demander un autographe ainsi qu'une photo, s'il veut bien. Nous ne sommes pas seuls c'est vrai, mais bien peu j'ai l'impression. Nous comprendrons plus tard que la majorité des "fans" du jour attendait à la mauvaise sortie (too bad...). Et ce n'est pas plus mal, l'acteur ne semble pas très à l'aise avec la foule (comme je le comprends) et sa femme Amandine l'attend à côté. D'autres avant moi lui demandent une photo, il refuse poliment en disant qu'il n'aime pas trop ça mais signe les autographes avec plaisir. Quand vient mon tour, je demande un petit mot pour ma mère et moi, car je lui ai fait découvrir Les Garçons et Guillaume à table, et qu'elle a adoré autant que moi. Il me demande comment on écrit "Oxana" en lettres latines, prenant l'accent (il a des origines slaves) mais je n'ai pas le temps de bavarder plus car un groupie "relou" pas très poli monopolise la parole sans respecter mes quelques petites secondes "de gloire". Il avait pourtant déjà eu son autographe, et il se permet de le tutoyer. Je détourne la tête de mon programme en train d'être dédicacé pour balancer un regard en mode "really, dude ?", à cet effronté, mais rien ne l'arrête. Je remercie Guillaume et lui dis que je reviendrai le voir, ce que je ferai, et m'éloigne... Je ne lui pose pas la question de la photo, j'ai bien compris, et je regrette que ce ne soit pas le cas de tout le monde dans le petit cercle qui s'est formé autour de lui. Je le plains, et je m'en veux presque d'avoir participé à cet assaut d'amour non sollicité^^
Un peu dégoûtée tout de même du comportement du "relou" du jour, je n'ai même pas regardé ce que Guillaume m'avait écrit. Je le découvre quelques instants plus tard : il a adorablement fait un clin d'oeil à mes origines, car je lui ai dit que ma mère vivait en Russie, il a tenté un "spasibo bolshoe" (merci beaucoup), et c'est vraiment adorable de sa part ! Je range soigneusement mon trophée et m'en retourne, un peu éhébétée, à la vie normale. Encore merci pour ce grand moment de théâtre, et cette délicate intention. À bientôt Monsieur Gallienne, je l'espère !
Allez, j'espère ne pas trop vous avoir barbés avec mon récit, et vous dis à demain pour un retour aux futilités usuelles. Groupie-ement vôtre,